1923
Pax domine, de René Leprince
Amour et vendetta, de René Norbert
1924
René Kervan, de Gérard Bourgeois
Tao, de Gaston Ravel
1926
Le berceau de Dieu, de Fred Leroy-Granville
Production et scénario : Stefan Markus
Direction artistique : E. C. Rogers et Leonard Sarluis
Avec :
Léon Mathot incarne John Powers, Saül et Hérode
Annette Benson : Ruth, jeune fille qui vit avec ses grand-parents en Palestine
Jean Bradin : Jésus-Christ
Pierre Daltour : Adam
Francine Mussey : Eve
Camille Bert : Zacharie
Lucien Dalsace : David, sacré roi d'Israël, et que Saül veut faire tuer
Suzanne Delvé : la prophétesse d'Endor, que consulte Saül
Gabriel de Gravone : Abel
Gaston Rieffler : Caïn
Henri Baudin : Isaac
Eric Barclay : Jean-Baptiste, décapité
Stacia Napierkowska : Salomé
Victor Vina : Moïse
Marcel Vibert : Salomon
Hélène Darly : Rachel
France Dhélia : la reine de Saba
Jean de Sauvejunte :Jonathan
Claude France : madame Putiphar, qui exige l'emprisonnement de Joseph, lequel a repoussé ses avances
André Roanne : Joseph, qui devient le principal conseiller de Pharaon
André Nox : Job
Jöe Hamman incarne Abner, Pharaon et Confucius
Gabriel Signoret incarne Abraham et Samuel
Gaston Norès :un personnage dans l'épisode de Samson et Dalilah
Jacques Révérend : Ezéchiel
Paoli : Samson
Musidora : Dalilah
John Powers a écrit un livre à succès, dénonçant la Bible comme une imposture, une suite de légendes sans fondement et sans réalité historique.
Il voyage en Palestine, à la recherche d'un document ancien qui permettrait d'en savoir plus.
S'étant perdu, il est hébergé chez Ruth, jeune femme qui vit avec ses grand-parents. Or, Ruth ressemble comme une jumelle à Constance, la femme de Powers, aujourd'hui décédée.
Ruth s'éprend de Powers, mais refuse de l'épouser car il n'a pas la foi.
Une nuit, Powers fait un rêve étrange : son âme rencontre notamment Moïse, et revit, en quelque sorte, des épisodes mythiques : Adam et Eve chassés du Paradis, Joseph et la femme de Putiphar, Salomé, Samson et Dalilah etc.
Au réveil, Powers a la foi.
Il veut parler à Ruth, mais, à son approche, elle fuit, ne voulant pas que celui qu'elle considère comme un mécréant, l'approche. Elle monte en haut d'une sorte de colline, puis tombe dans un précipice. Powers se porte à son secours. Il implore Dieu de faire un miracle, de sauver Ruth. Celle-ci ouvre les yeux : elle vivra.
Source : copie projetée à la cinémathèque française le lundi 29 août 2011. Noir et blanc. Nombreuses fautes de français dans les intertitres.
La copie projetée ne mentionnait pas que le film était de Fred Leroy-Granville. L'équipe technique n'était pas non plus mentionnée. Un carton disait simplement quelque chose comme : "Un film de Stefan Markus".
1927
Phi-Phi, de Georges Pallu
Palaces, de Jean Durand.