1979
Keiko, de Claude Gagnon
Couleur. A peu près 2 heures.
Musique : Jun Fukamachi.
Montage : Claude Gagnon.
Junko Wakashiba est Keiko.
Akiko Kitamura est Kazuyo, femme qui travaille dans la même entreprise que Keiko et finit par vivre avec elle.
Toshio Hashimoto est Terayama
Keiko est une Japonaise de 23 ans qui vit seule dans un tout petit studio.
Plutôt solitaire, elle fait la connaissance d'un homme dont elle devient la maîtresse. Mais elle finit par apprendre qu'il est marié et a un enfant. Aussi décide-t-elle de rompre.
Elle vit alors une relation érotique avec une collègue de travail, Kazuyo.
Toutes deux s'installent dans un pavillon et font des projets d'avenir.
Cependant, le père de Keiko veut forcer celle-ci à se marier avec un homme qu'il a choisi. Keiko résiste. Pourtant, estimant qu'elle ne peut pas faire autrement, et tout en déclarant aimer Kazuyo, elle quitte cette dernière et se marie avec l'individu que son père lui a imposé.
Source : copie projetée à la Maison de la culture du Japon à Paris le mercredi 8 juin 2011.
1980
Momojiri musume purpozu daisakusen, de Koyu Ohara
1981
Kura no naka, de Yoichi Takabayashi
1982
Second love, de Yôichi Higashi
1983
Toki o kakeru shôjo, de Nobuhiko Ôbayashi
1984
Mitsugetsu, de Hôjin Hashiura
Aijou monogatari, de Haruki Kadokawa
Kekkon annai mystery, de Yoshikuni Matsunaga
1985
Shimaizaka, de Nobuhiko Ôbayashi